mardi 28 février 2012

Elephant Nature Park près de Chiang Mai

Il y a quelques semaines, je vous avais fait languir ici en vous mentionnant notre formidable expérience à l'Elephant Nature Park près de Chiang Mai: chose promise, chose due, je vais vous parler de cette super journée! Merci Mme Gremichon de m'avoir soufflé l'idée, car sans cela, nous aurions atterri dans un de ces parcs à touristes!
Le concept: la fondatrice, Lek, a cœur à rassembler les éléphants maltraités ou blessés (par des restes de mines anti personnelles par exemple) et à leur offrir un havre de paix ou ils pourront être soignés. Un travail énorme est réalisé, avec l'aide de volontaires qui passent une, deux ou quatre semaines dans le parc. Nous avons participé à la journée d'observation seulement.
Lors du trajet en minibus depuis Chiang Mai (1h-1h30), on vous diffuse un documentaire sur le parc: une excellente introduction. Une fois arrivés, nous passons devant le garde-manger des éléphants: bananes, pastèques et autres fruits en pagaille: un éléphant mange l'équivalent de 200kg de végétaux par jours!! Nous avons ensuite l'occasion de voir certains éléphants, qui sont en liberté au sein du parc. Notre guide connait le nom et l'histoire (souvent pas très rose) de chaque éléphant. Pause déjeuner... pour les éléphants d'abord que nous nourrissons d'un énorme panier de fruits! Puis déjeuner pour nous (buffet thaï).
Apres le déjeuner, au bain! Les éléphants descendent dans la rivière et nous les arrosons à l'aide de nos seaux. Nous continuons à les observer en liberté (bain de boue, etc.). 
Un film est ensuite projeté, encore une prise de conscience de la situation des éléphants: exploites par le tourisme, ils disparaitraient sans. Paradoxe... Le tout étant d'éviter les rites d'initiations brutaux pour dresser les éléphants (les images sont violentes) et de favoriser des méthodes plus douces. Ames sensibles, zappez le film, mais honnêtement, il est très bien fait et montre l'importance du travail de l'équipe de Lek. Nous terminons la journée sur une note plus joyeuse: le repas des éléphants (encore)!
C'est vraiment une journée sympa à faire en famille et qui permet aussi de faire du tourisme autrement, plus responsable. Depuis notre visite, le parc a eu des visites mal intentionnées d'officiels visiblement corrompus qui ont cherché à capturer des éléphants et à arrêter Lek. Quelques détails ici. Le parc a plus que jamais besoin de notre soutien. En attendant d'aller le visiter, abonnez-vous à leur page Facebook, ici. Comptez, pour une journée au parc 2500THB par adulte, moins pour les enfants (inclus AR depuis votre hôtel, déjeuner et toute la journée). Et ça les vaut largement.

Elephant Nature Park, site web ici, inscriptions ici et page Facebook ici.

jeudi 23 février 2012

Crocs!

Ca y est j'ai craqué! Moi qui trouve ça ultra moche sur les adultes (du moins les crocs classiques, c'est dit), j’ai acheté des Crocs pour Bébé. Légères, aérées et faciles à enfiler sans aide, elles sont bien adaptées au climat singapourien. Et sur un enfant c'est finalement très mignon surtout égayé de petits clips (ici Winnie et Tigrou). Bébé était trop content de ses nouvelles chaussures!
Crocs à Singapour online ici, vous pouvez aussi trouver les adresses des magasins sur le site.

jeudi 16 février 2012

Sophie: My Baby's First Clothes, vêtements de qualité pour nos petits!

la naissance de son bébé, Sophie n'a pas eu le cœur à reprendre les chemins du travail en tant que salariée, mais une nouvelle opportunité s'est ouverte à elle: amener de jolies marques européennes aux mamans qui ne trouvent pas leur bonheur à Singapour pour leurs petits. Ainsi est né son deuxième "bébé": My Baby's First Clothes! Un sacré challenge de mener les deux de front, mais qui lui a permis de passer plus de temps avec son fils.

Présentation: 
Je suis arrivée à Singapour il y a bientôt 5 ans, après avoir été mutée de Londres. J’ai 34 ans et ai eu mon premier enfant ici même en 2010. J’ai arrêté mon travail après la naissance de mon fils et suis heureuse de pouvoir passer chaque minute avec lui ! 

Ton business: 
J’ai créé My Baby's First Clothes juste après la naissance de mon fils. Je ne voulais pas reprendre mon travail après sa naissance car je voulais profiter de lui un maximum et avec des horaires de 9h à 19/20h, cela n’aurait pas été possible ! Une idée me trottait dans la tête depuis un petit moment déjà. Après des mois de préparatifs, quand, enceinte, je cherchais des habits sympas et différents des body de base pour mon bébé, une certaine frustration s’est installée car je ne trouvais rien d’exceptionnel dans les magasins. J’ai donc décidé d’amener moi-même le choix sur nos rives!
Pour celles qui ont eu la même expérience, c’est bien simple, ou on trouvait du cheap dans les grandes chaines, ou du mignon mais toujours les mêmes designs ou du très beau mais à des prix exhorbitants!
Ma mère a eu une franchise Jacadi pendant 25 ans et ce monde m’était familier. J’ai donc commencé mes recherches avec comme volonté d’amener  le « design à l’européenne », c’est à dire des belles coupes, des beaux tissus et un prix moyen, pas plus cher que chez nous! Mes recherches m’ont amenée à 4 marques extra, toutes de bonne qualité et reconnues. Chacune de ces marques a sa spécificité et c’est un plaisir pour moi que de les représenter. 

Devenir Mampreneur, pourquoi? 
Pour pouvoir bénéficier d’une certaine flexibilité et profiter de mon fils tout en gardant une activité qui, pour moi, est nécessaire à mon équilibre. 

Hobby ou réel boulot (ou les deux!)? 
Je ne choisirais pas le mot hobby pour définir My Baby's First Clothes mais plus passion ! Les débuts ont été très durs car il fallait jongler entre un bébé de 3 mois et son rythme alimentaire soutenu (= allaitement !), les commandes, livraisons, mise en place internet etc…. Le rythme fut donc très soutenu mais au final, j’ai adoré car ces habits me passionnent!
Travaillant de la maison et vendant en ligne, je n’ai pas de contact direct avec les clientes, si ce n’est pour celles qui viennent acheter directement chez moi. J’ai donc décidé de participer aux « fairs » afin de rencontrer les mamans et également de me faire connaitre. Ces évènements étant assez nombreux, j’ai sélectionné ceux qui me paraissaient intéressants et avec l’aide également des témoignages d’autres personnes dans le « business from home ». J’ai adoré ces expériences qui m’ont permis d’effectivement rencontrer ces femmes (peu de monsieurs en général a ces fairs….), d’échanger sur nos vies, nos business, nos voyages etc et, bien évidemment, de parler de mes produits ! J’ai toujours eu de bons feedbacks sur mes marques et c’est très encourageant de les entendre en live !! Combien de fois ai-je entendu « oh ce que c’est joli, c’est tout à fait le style français ! ». 
Tout ça pour dire que oui, c’est un réel boulot mais c’est un plaisir de faire quelque chose qu’on aime !

Parcours de santé ou parcours du combattant? 
Ce fut très dur au début avec mon nouveau-né, et le fait de quitter mon travail après 10 ans a aussi été lourd à gérer. Avec le recul, je ne me plains pas et tout s’est finalement bien déroulé.
Cela étant, je ne me repose pas sur mes lauriers et il faut continuer à travailler pour pouvoir se faire connaitre toujours un peu plus et se développer et ça, ça n’est pas une mince affaire ! 

Travailler de la maison, est-ce compliqué, et recommandé? 
Je pense que cela dépend de plusieurs facteurs. Dans mon cas, je n’avais pas le choix car je voulais m’occuper de mon fils (nous n’avons pas de helper). Il est vrai que ce n’est pas évident avec un bébé auprès de vous mais ça n’est pas impossible et cela demande juste une certaine organisation (et beaucoup de patience... !!).
Pour ce qui est du côté perso, j’essaie de ne pas travailler le soir, j’adore les soirées en famille et je ne veux définitivement pas passer à cote de ces moments privilégiés. 

Qu'est ce qui t'a le plus surprise dans ton parcours? 
La réaction positive des gens lorsqu’ils découvraient mes produits et les échanges avec d’autres expatriées qui ont ou aimeraient également monter leur affaire. J’ai plusieurs fois eu de vrais compliments par rapport à ce que je faisais, à savoir gérer mon bébé et ma petite affaire alors que je ne m’y attendais vraiment pas !

L'erreur #1 à ne plus refaire et/ou le conseil #1 à donner? 
Conseil : être dans un bon état d’esprit quand on commence un business. Ne pas faire ça pour échapper à un boulot qu’on n’aimait pas ou pour dire de faire quelque chose. Il faut réellement croire en ce qu’on fait, et le faire de bon cœur, pour moi c'est primordial.  
Et s’entourer. Créer sa propre affaire est très excitant mais c’est un parcours qui peut être long et difficile et avoir des gens autour de soi qui nous aident et nous conseillent, ça fait toute la différence. 

T'es-tu appuyée sur des réseaux d'entrepreneurs, des ressources particulières qui pourraient être disponibles pour d'autres Mampreneurs? Si oui, lesquels? 
Non. Ayant été assez « bloquée » a la maison avec mon nouveau-né, j’avoue que j’ai travaillé en solo et n’ai pas eu d’autres recours qu’a certains forums sur internet et quelques websites spécialisés. Les sites business Singapore sont très bien faits d'ailleurs (par exemple: http://www.singapore-business.com/).
Mon expérience avec les fairs m’a toutefois mise en contact avec d’autres Mampreneurs et nous avons échangé pas mal sur nos parcours. J’avoue que leurs paroles m’ont beaucoup réconfortée et donnent confiance. Je me suis aperçue que je n’étais pas seule et devais confronter les mêmes problèmes. 

Tes perspectives? 
Développer ma petite affaire et amener d’autres marques fantastiques pour nos petits trésors! 

Le regard des autres vis-à-vis de ton statut de Mampreneur? 
Les gens trouvent ça en général bien et courageux ! 

Et la famille dans tout ça? 
Je consacre toujours un moment de la matinée et les soirées exclusivement à ma famille. Mon but en devenant mampreneur était de passer du temps avec mon fils et de le voir grandir. Ce statut est d’ailleurs également très apprécié par mon mari qui est très heureux que je puisse m’occuper de notre fils. Il m’a toujours soutenue, à chaque étape de cette aventure. 

Et si c'était à refaire? 
Je le referais sans hésitation mais je pense que j’attendrais que mon enfant ait quelques mois de plus car c’est vraiment sport avec un nouveau-né !

Merci à Sophie de m'avoir reçue chez elle! Besoin d'un vêtement de qualité pour votre bébé? A la recherche d'un joli cadeau de naissance? Vous pouvez retrouver My Baby's First Clothes sur Internet ici et Facebook ici. Vivement que la sélection s'étende aux plus de deux ans!


Les photos publiées dans cet article sont la propriété de Sophie Chiarugi / My Baby's First Clothes.

lundi 13 février 2012

Faire des yaourts sans yaourtière!

Horreur malheur, ma yaourtière est tombée en panne: elle ne chauffe plus! Fort heureusement sous garantie, mais en France... donc condamnée d'attendre de longs mois sans ma yaourtière rendue indispensable. Vais-je survivre? Rien n'est moins sûr... j'étais à deux doigts de craquer et commander la yaourtière-fromagère tout en un pour me venger (elle était déjà dans mon panier électronique La Redoute…), avec en plus l'aval de mon mari qui a reconnu que la yaourtière était un excellent investissement.
Après une série d'essais ratés avec une cocotte, bain marie avec ou sans four, etc., ma Maman m'a fourni LA solution miracle. Hé oui, ayant expérimenté le pain dans ma cuisine et sa pousse sur mon "balcon" (comprendre mon yard / buanderie / débarras), elle a trouvé la solution pour mes yaourts, qui dans le fond ont les mêmes exigences de micro-climat! THE solution qui m'a sauvée (et mon porte-monnaie avec): 
- faire bouillir 1L de lait 
- attendre qui redescende aux alentours de 40-45 degrés 
- ajouter le ferment et mélanger 
- verser le tout dans les pots, et les mettre sur le balcon / yard (pas en plein soleil, mais il faut qu'il fasse bien chaud), emballés dans une couverture pour conserver la température, une dizaine d'heures. N'ayant pas de couverture à Singapour, j'ai utilisé de grands draps de bain, et j’ai intercalé grossièrement (pas hermétiquement!) un papier alu entre les pots de yaourt et la serviette (pour éviter de retrouver des bouts de serviettes trempant dans le yaourt !).
Yaourtiere "maison"
Résultat: nickel! Sauvée :-) c'est aussi bon qu'avec la  yaourtière .

Ça marche dans n'importe quel pays au climat chaud et humide comme Singapour! On peut aussi repiquer avec un yaourt déjà fait plutôt que le ferment. Ca me laisse le temps de faire réparer ma yaourtière sans stress :-) Ouh, là, je vais faire baisser les ventes de Lagrange, mais elle n'avait qu'à pas tomber en panne!

Voir aussi mes autres billets sur les yaourts maisons, ici et ici.

jeudi 9 février 2012

Bol d'air à Chiang Mai

A la recherche d'une destination facile pour 4-5 jours? Baby friendly, en prime? Allez donc à Chiang Mai, dans le nord de la Thaïlande! Nous y étions allés en 2006, sur un mode "roots", nous voilà de retour, 5 jours lors du Nouvel An Chinois, sur un mode "pépère". La saison idéale se situe de novembre à mars, les pluies étant rares et les températures douces à en frémir le soir.

Destination facile par son accessibilité, pour commencer: 3h de vol depuis Singapour avec Silkair ou plus pratique (et moins cher!) vol quotidien avec Airasia, en soirée, ce qui permet d'optimiser son temps sur place. Compter ensuite 10-15min de taxi jusqu'à un hôtel dans le centre ancien. Facile!
Côté hébergement, il y en a pour tous les gouts et les budgets, de la guesthouse backpackers au boutique hôtel tout confort. Pas mal de choix sur Agoda, et de notre côté, un coup de cœur pour Bodhi Serene: chambre spacieuse et agréable avec balcon et salle de bain immeeeense (baignoire de 2 mètres de diamètre... mais impossible de la remplir!). Lit bébé fourni gratuitement (un vrai lit a barreau avec un vrai matelas, pas un lit parapluie branlant). Piscine (un peu fraiche), rampe pour accéder à l'étage (top avec la poussette, qu'il ne faut pas hésiter à emmener a Chiang Mai), et cours intérieure très sympa ou est servi le petit-déjeuner.
Chiang Mai et les environs regorgent de temples, dont le Doi Suthep à ne pas manquer, a une dizaine de kilomètres du centre en partant vers les montagnes. Un temple très anime et actif. On passe sur les excursions dans les villages ou on vous montre des soit disant tribus reculées (on n'a même pas voulu essayer).
Nous avons aussi fait deux excursions top, que je détaillerai davantage dans de futurs billets: une journée au Elephant Nature Park, un centre de réhabilitation d'éléphants malades / maltraités, pendant laquelle vous observez, nourrissez, lavez les éléphants, et une journée... cours de cuisine Thaï! Deux journées phares qui a elles toutes seules m'ont donné raison de venir à Chiang Mai!
Enfin, profitez-en pour vous faire plaisir: shopping d'artisanat local de qualité, notamment au Sunday Market (à partir de 17h, le dimanche comme son nom l'indique) voire même dans des petites boutiques d'artistes / créateurs en ville; en vous faisant masser les pieds pour 150THB (allez S$6 ou environ 4 euros); et en vous régalant de curry vert ou mango sticky rice arrosé de leurs délicieux jus d'orange! Il y en a pour tous les gouts et pour toute la famille a Chiang Mai!

lundi 6 février 2012

Sondage: nouvelle marque pour enfants à Singapour

Une marque cherchant à s'implanter à Singapour fait une petite étude destinée aux Mamans qui vivent à Singapour, et ayant des enfants de moins de 12 ans.
Pour les aider, il suffit de répondre à ce questionnaire, cela vous prendra dix petites minutes. Lien ici.
Vous pouvez retrouver le descriptif en Anglais sur le blog de Cerise Les Jeunes Pousses. N'hésitez pas à faire tourner le lien.

samedi 4 février 2012

HFMD...

... pestiféré? Hand, Foot & Mouth Disease ou Syndrome Pieds-Mains-Bouche ou encore la terreur des crèches singapouriennes. C'est pourtant a priori une maladie infectieuse virale en général bégnine, mais très contagieuse. A Singapour, un enfant qui a attrapé le HFMD doit rester chez lui, et c'est panique à la crèche!  Elle se manifeste par une poussée de fièvre suivi d'éruptions cutanées, principalement sur les pieds, les mains et autour voire dans la bouche, d'où son nom. Quand l'enfant a des boutons dans la bouche, il peut arrêter de s'alimenter et c'est là que ça peut devenir problématique (et mener à l’hospitalisation). Des complications (rares) peuvent arriver, et la fréquence des épidémies à Singapour, ont poussé le gouvernement à en faire une maladie qui doit être déclarée (au même titre que la tuberculose et autres maladies pas sympas du tout). Plus d'infos ici.
Papier distribue a la creche
Bébé l'a attrapé une fois à la crèche, qui comme toutes les écoles, prend ca très au sérieux (cf. avis scanné)... pour le bien-être de nos petits, mais parfois on trouve ça trop quand même (tous les bébés sains sont isolés dans leurs lits parapluie respectifs, toute la journée, le temps que l'épidémie passe!). Quarantaine d'une semaine minimum, mais si les boutons sèchent assez vite, ils mettent longtemps à disparaitre. C'est en tout cas dans ces cas-là qu'on a besoin d'un plan B de garde d'enfant!

mercredi 1 février 2012

Une expérience ultra conviviale: Pongal Festival à Little India

Le festival "Pongal" est une fête Tamoul, célébrée principalement dans l'Inde du Sud, mais aussi à Little India à Singapour. C'est la fête de la moisson du riz, qui a lieu mi-janvier. A cette occasion un plat à base de riz sucré est préparé et partagé. 
Dans Little India, pots pour preparer le Pongal
Nous avons eu la chance d'être invités par le restaurant Lagnaa, qui organisait un événement bien particulier: faire découvrir à ses plus fidèles clients un petit bout de culture indienne, en nous faisant gouter un repas de fête végétarien mangé sur feuille de bananier. En guise d'accueil, les hôtes déjà arrivés vous aspergent d'eau de rose ("pour chasser les mauvaises odeurs"), puis on nous applique sur le "Tilak" sur le front, cette marque à base de curcuma. Les femmes prennent ensuite des bracelets colorés et arborent une fleur dans les cheveux. On nous explique ce qui nous attend: nous allons déjeuner à tour de rôle. Les hommes vont d'abord servir les femmes, puis lorsque nous aurons fini, ce sera l'inverse. 
Un repas haut en couleurs!
Chaque plat a sa place sur la feuille de bananier (ne pas se tromper), et un ordre précis. Tandis que certains plats peuvent être servis plusieurs fois, d'autres une fois seulement. "Control your portion", c'est l'ordre du chef, on ne gâche rien! Nous commençons par gouter le Pongal, riz sucré qui ressemble plus à un dessert (Bébé adore!), avant de gouter du riz nappé de sauce, divers légumes accompagnés de condiments colores, et de l'appalam (un genre de grande chips version indienne) ou un donut salé version indienne. Le dessert était à tomber aussi. Et attention, on mange avec la main droite!
Tout le monde se regale!
Ce fut une expérience très sympa et conviviale. Lagnaa, bien plus qu'un simple restaurant, cherche par tous les moyens à partager la culture indienne et on adore!

LinkWithin

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...